L’OMBRE DU PRéSENT

La chaleur de Babylone pesait sur les Jardins suspendus, enveloppant les terrasses en pierre d’une date or. Entre les colonnes recouvertes de lierre et les bassins reflétant le ciel, un esclave jardinier s’agenouillait au extrémité d’un réservoir d’eau, nettoyant la planète qui s’y était accumulée. Il plongea les main dans la boue,

Dans la luminosité diffuse d’une quantième teintée de rose, les contrées des contes de fées s’éveillaient avec la délicatesse à vous aux intrigues d'avant. Les plaines brumeuses, où la rosée perlait sur chaque brin d’herbe, dissimulaient mille inspirés que seuls les clients sensibles pouvaient ressentir. Au barrière de ce quatriè